Je ne suis pas coupable....

Je ne suis pas coupable, dumoin c’est ce que je répondis au policier le soir ou il m’ont interogé. Effectivement selon toute vraisemblance ma voisine de 29ans, Amélie venait de ce faire assassiné.

Alors les première question des policier fur très prévisible, il me demandere bien entendu ou j’étais hier soir, au moment du meurtre, une question qui ne demande pas grand réflexion, dumoin normalement mais hier soir j’étais chez moi, alors devrai je leur dire que j’étais ici le soir ou ma voisine est morte, tous juste a coté de l’incident?

Bien sur que non, quelle mauvaise idée, je deviendrai alors leur suspect numéro 1, est-ce que j’avait quelque chose a me reprocher, encore la je ne puis répondre, je resta sans mots devant les 2 agents qui semblait quand même très impatient, quelle réponse donner, la vérité pourrait me mettre dans de sale drap, mentir pourrait également me projeté dans une position peux adéquate s’il venait a savoir que j’ai menti, je décide néanmoins de mentir et de leur dire que j’étais chez ma vielle mère, Susan, au 1456 rue de l’aplomb dans le nord de Montréal, il me demande par la suite son numéro, ce qui est normal en soit puisqu’il veule vérifier mon alibi, alors je panique, c’est simple, ma mère qui n’a aucune idée de ce qui ce passe va forcément leur dire la vérité, sois que je n’étais pas chez elle hier soir, ce qui encore une foi me placerai dans une très mauvaise position, alors quelle numéro donner?

Après quelque seconde ou je prit la peine de réfléchir, je décide de donner le numéro de ma tante Anne, qui n’est jamais la le soir puisque travaille de nuit, et comme elle ne possède pas de répondeur, il leur sera difficile de ce rendre compte que ce n’est pas le bon numéro, d’ici la 2 choix s’offrirons a moi, sois celui d’appeler ma mère, lui expliquer la situation et lui demander de ce rendre chez sa sœur puisque les policier rapelleron sans doute, ou d’appeler directement ma tante au travaille ce qui en soit demeure une idée risquer!

Je décide donc de continuer sur la vois du mensonge, ce que je réeusi très bien jusqu’ici, les enquêteur son sur les lieu, il prenne les emprunte, ramasse les petit débris, les cheveux par terre, je les regarde faire d’un œil attentif, mais pourquoi au faite? Le policier barbu revient, il me demande si le numéro que je lui est donnée est le bon, puisque comme prévue il n’y avait personne, je lui dit bien entendu que je n’est pas fait d’erreur, comment oublier le numéro de sa mère tous de même, il décide donc de prendre ma déposition officiel, celle ou je doit dire que je ne suis pas au courant de rien et que je n’est rien entendu, ce que je fait avec un léger sourire en coin….

Après quelque heure il sorte le cadavre de l’appartement, dans un sac noir bien entendu puisque le corps de cette jeune femme est mutilé, sa serai imprudent de montrer une telle horreur au public qui ce fait grandissant devant le logement, on entend au même moment les annonce officiel de la radio sur un possible meurtre, enfin c’est ce qu’il dise car il ne semble pas très bien informer, sauf sur l’adresse qui est belle et bien le 4598 rue des chênes, mais il ne connaise pas le numéro de l’appartement, qui est le 105, ce qui ne change pas le fond de l’histoire en faite, si ce n’est qu’une multitude de curieux vont accourir sur les lieu.

Je suis sur une chaise, non pas chez moi mais dans le couloir, c’est une demande officiel de la police, tous les voisin de la victime son dehors de leur appartement, ils attende la, que la police leur donne le ok, pour le reste on voit très clairement les flache des appareil photo a travers les fenêtre, on remarque aussi les entende télévision qui monte au dessus des automobile, des policier différent circule sans arrêt du logement jusqu'à l’extérieure, chaqu’un connaisant son rôle.

Quelque heure s’écoule encore, le corps est partie depuis longtemps, les curieux commence a ce faire rare, les média parte tranquillement, quelque policier devenue alors inutile emboîte le pas également, a l’intérieure les enquêteur donne peux a peux l’autorisation de réintégrer nos appartement, il arrive bientôt jusqu'à moi, je n’est pas encore téléphoné et il commence a ce faire tard, plus vite je serai rentrer plus vite je pourrait appeler, il son maintenant chez mon voisin, mon autre voisin, c’est Paul, un grand maigre pas très jolie, comme quoi certain on la chance et d’autre non, je ne l’est jamais aimé ce gars, les policier ce rassemble autour de lui, il semble très inquiet, Paul ce fait ordonner de mettre les main devant, il l’arrêt aucun doute, deux autre policier entre chez lui, il en ressorte avec ce qui semble être un marteau tacheter de sang, et un couteau tous aussi rouge, un policier frappe violemment le suspect en pleine poitrine et lui lance des injure, un autre lui donne un coup de matraque en pleine figure, le suspect tombe au sol, les policier lui assène bon nombre de coup au corp, l’homme crie, il pleure, sa semble faire mal, une douleur intense et continue puisqu’il le frappe toujours, il le relève, lui donne c’est droit et accompagner de 4 policier il l’amene  dans le hall et ensuite dans une voiture de police, les quelque média téméraire qui avait décider de rester quelque temps de plus en on eu pour leur argent, un nombre incalculable de photo fut prit a l’instant ou l’homme traversa la porte d’entrer.

Un policier viens me dire de retourner chez moi, que tous est terminer, ce que je fait sans même lui poser une seul question, je referme la porte derrière moi, m’écroule sur le sol et fond en larme, je suis incapable de me retenir, je pleure comme un enfant, sa dure au minimum 15 minute, je me relève difficilement, prend le téléphone et appelle l’un de mes ami, je lui dit avec un léger air enjouer, que tous est régler, que tous est fini, qu’il ne la reverra plus!